Table des matières
Quel est le principal problème de la malbouffe?
Le principal problème de la malbouffe : ses composants. Exemple récent avec les nuggets, qui, en réalité, contiennent du poulet (encore que…) broyé ; à savoir un mélange d’os, de chair et de tendons. Sans parler de la panure qui enrobe le nugget et l’huile dans laquelle il cuit. Miam !
Est-ce que la malbouffe est une addiction?
Selon l’étude menée par des chercheurs de l’université du Michigan à Ann Arbor, (États-Unis), la malbouffe est une addiction au même titre que la drogue.
Quelle est la traduction de la malbouffe?
Sa traduction anglaise est encore plus éloquente, la junk food étant littéralement une nourriture faite de déchets. La malbouffe est cet ensemble d’ « aliments » issus de leur transformation industrielle, trop caloriques, trop gras, trop salés, trop sucrés, trop riches en additifs, mais sans intérêt nutritionnel.
Est-ce que la malbouffe multiplie le risque de développer un cancer?
Aujourd’hui, plus de 10 \% de la population française est en situation d ’insécurité alimentaire, pour raisons économiques. Or, selon le Conseil national de l’Alimentation (CNA), la malbouffe multiplie par trois le risque de développer un cancer, double celui d’avoir une maladie cardio-vasculaire.
Le principal problème de la malbouffe : ses composants. Exemple récent avec les nuggets, qui, en réalité, contiennent du poulet (encore que…) broyé ; à savoir un mélange d’os, de chair et de tendons. Sans parler de la pannelure qui enrobe le nugget et l’huile dans laquelle il cuit.
Comment augmenter la notoriété des marques de malbouffe?
Plus récemment, en mars 2015, des travaux de chercheurs chiliens publiés dans la revue Appetite démontrent que les marques de « malbouffe » voient leur notoriété augmenter chez les enfants de 12 ans (par rapport aux plus jeunes), notamment grâce aux outils de communication, tels que la publicité.
Est-ce que la consommation d’aliments de type malbouffe?
Une étude australienne publiée en 2014 dans la revue Frontiers in Psychology explique que la consommation d’aliments de type « malbouffe » altère « l’autocontrôle » du cerveau influencé normalement par le rassasiement sensoriel spécifique.