Table des matières
Quel est l’avantage concurrentiel?
La quatrième partie développe les grandes implications pour la stratégie concurrentielle et en particulier les différentes façons de traiter l’incertitude et d’améliorer ou défendre une position. L’avantage concurrentiel s’articule autour de quatre parties. La première partie décrit les types d’avantage concurrentiel.
Quel est le lien entre les technologies et l’avantage concurrentiel?
Le chapitre cinq développe les liens multiples entre les technologies et l’avantage concurrentiel. La technologie, appliquée aux processus ou aux produits, est un facteur clé de l’avantage concurrentiel, qu’il s’agisse d’un avantage par les coûts ou par différenciation.
Comment choisir la comparaison avec ses concurrents?
La comparaison, même approximative, avec la situation de ses concurrents lui permet de choisir entre l’obtention d’un avantage par la maîtrise des facteurs d’évolution des coûts et le remodelage de la chaîne de valeur (par une amélioration de la conception, de la fabrication, de la distribution…).
Quels sont les champs du jeu concurrentiel?
Sous ces conditions, le jeu concurrentiel s’exerce alors sur quatre champs possibles : la lutte par le traditionnel positionnement qualité/prix. la lutte par la maîtrise d’un savoir-faire distinctif, peu ou difficilement imitable et qui est source de création de valeur.
« L’avantage concurrentiel » de Michael Porter publié en 1980 est une référence incontournable de la stratégie d’entreprise. Dans ce livre, le professeur d’Harvard fournit les grandes lignes pour comprendre les comportements concurrentiels et le positionnement stratégique d’une société au sein de son secteur.
Comment acquérir ou conserver un avantage concurrentiel?
Une organisation peut acquérir ou conserver un avantage concurrentiel grâce à l’innovation, la qualité et la maîtrise des coûts. Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours !
Est-ce que les concurrents peuvent renforcer la compétitivité?
Le raisonnement consiste en effet à dire que les concurrents peuvent renforcer la compétitivité de la firme et améliorer la structure du secteur. Il peut donc être préférable de renoncer délibérément à un accroissement de la part de marché.