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Quels sont les risques de la Banque islamique?
Les banques islamiques sont exposées aux risques bancaires traditionnels similaires à leurs contreparties conventionnelles à savoir le risque de crédit, le risque de liquidité, le risque de marché et le risque opérationnel.
Quels sont les limites et défis de la finance islamique face à une crise?
On compte parmi ses principaux fondements l’interdiction de la pratique de l’intérêt, l’interdiction des pratiques spéculatives, le principe de partage des profits et des pertes, l’obligation de l’asset-backing ou encore l’interdiction d’investir dans des sociétés dont les activités sont jugées illicites dans l’Islam.
Quelles sont les sources de la finance islamique?
Le Coran, principale source du droit islamique, et la Sunna, retranscription des actes et propos du prophète Mahomet, sont les deux principales sources religieuses de la finance islamique.
Pourquoi le choix de la finance islamique?
Les banques islamiques, en s’orientant vers des activités où elles cherchent à maximiser leurs profits plutôt que de partager leurs profits et leurs pertes et où elles proposent de manière détournée un taux d’intérêt comme les banques conventionnelles, sont devenues vulnérables, moins profitables et risquent de ne pas …
Pourquoi choisir la Banque islamique?
En pratique, cela signifie que chaque aspect de la Finance Islamique doit être mis en place de façon à permettre une répartition juste de la richesse et de la prospérité entre les différents membres de la communauté par le biais d’activités commerciales et d’investissements moralement acceptables.
Quels sont les enjeux de la finance islamique au Sénégal?
La finance islamique vise l’ensemble des activités financières et commerciales qui respectent les principes du droit et de la jurisprudence islamiques, communément appelés Charia ou loi islamique. Elle est une finance éthique, non spéculative et basée sur l’économie réelle.
Comment fonctionne finance islamique?
En finance islamique, les comptes d’épargne s’apparentent à des contrats épargne en unités de compte proposés en finance classique. Le capital n’est pas garanti et le titulaire du compte n’a aucun droit de regard sur la gestion de ce dernier.