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Pourquoi un enfant mort-né?
En général, les causes de la mortinaissance relèvent d’un problème chez le bébé, du placenta ou du cordon ombilical, ou d’un problème de santé grave chez la mère. Certains facteurs augmentent le risque de mortinaissance, notamment : La grossesse chez les adolescentes. L’obésité
Quand Dit-on qu’un enfant est viable?
Avec les progrès de la médecine, les possibilités de prise en charge du nouveau-né se sont améliorées. En théorie, un bébé peut vivre à partir de 22 semaines d’aménorrhée (depuis les dernières règles) soit 5 mois de grossesse ou à partir de 500 g.
Quelle est la définition d’enfant mort-né?
Enfant mort-né : définition Dans son acception courante, on parle d’un enfant mort-né pour désigner tous les cas où, soit il sort du ventre de la mère en étant déjà mort, soit il meurt immédiatement à la naissance. Il s’agit de tous les cas où la déclaration de naissance à l’état civil n’a pu être faite avant le décès.
Qui est le mort-né à la naissance?
En médecine, le mort-né est un enfant qui ne présente aucun signe de vie à la naissance. La mort fœtale survient in utero. Elle peut se produire avant ou pendant le travail de l’accouchement. Selon le délai passé entre le décès et l’accouchement, l’aspect de l’enfant mort-né à la naissance sera qualifié de « frais » ou « macéré ».
Est-ce que l’enfant est né vivant avant de mourir?
Cas 1 : un certificat médical atteste que l’enfant était né vivant et viable avant de mourir, un acte de naissance ainsi qu’un acte de décès sont établis. L’inhumation est alors obligatoire. Un nom et un prénom sont attribués à l’enfant et figurent sur le livret de famille. La mère bénéficie d’un congé maternité.
Est-ce que les enfants mort-nés sont dotés d’éléments d’état civil?
Les enfants mort-nés sont peu à peu dotés d’éléments d’état civil, mais pas les enfants nés sans vie avant d’avoir atteint la limite légale de viabilité. Dans ce cas, un nom et un prénom leur sont donnés. L’entrée en vigueur de ces nouvelles dispositions s’est accompagnée d’une clause de rétroactivité.