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Quel nerf innerve la vessie?
Le sphincter strié urétral est innervé par le nerf pudendal (np). La continence urinaire nécessite une vessie (ve) compliante. Celle-ci reçoit son innervation du système végétatif sympathique et parasympathique provenant des plexus hypogastriques (ph) inférieurs et supérieurs.
Comment traiter la vessie hyperactive?
Le traitement médicamenteux repose sur l’utilisation d’une classe pharmaceutique particulière, les anticholinergiques. Ces médicaments vont agir en empêchant une substance chimique produite par le corps, l’acétylcholine, de provoquer une contraction du muscle de la vessie.
Quel sont les problème de vessie?
Une vessie hyperactive, irritable ou sensible est causée par l’hyperactivité du détrusor. Cela signifie que votre vessie tente d’évacuer l’urine même quand elle n’est pas pleine. Le symptôme le plus évident est la grande fréquence des mictions pendant la journée.
Quel est le trouble neurogène de la vessie?
La vessie neurogène est une condition causée par les nerfs le long de la voie entre la vessie et le cerveau qui ne fonctionne pas correctement. Cela peut être dû à un trouble cérébral ou à une lésion des nerfs de la vessie. Voici des exemples de troubles cérébraux qui peuvent causer des troubles neurogènes de la vessie :
Quels sont les traitements propres à la vessie?
En cas d’échec de ces traitements, l’urologue pourra avoir recours à des traitements propres au sujet neurologique, qui sont : la neuromodulation sacré, l’injection de toxine botulique dans le muscle vésical. l’agrandissement de la vessie.
Quel est le rôle de l’urologue dans les vessies neurologiques?
Le rôle de l’urologue dans les « vessies neurologiques » sera de faire le bilan de tout l’appareil urinaire afin d’établir les facteurs de risques de dégradation, notamment rénal. L’évaluation rénale reposera sur la réalisation d’une échographie rénale et d’une prise de sang (ionogramme sanguin).
Quels sont les traitements pour la vessie spastique?
En cas de vessie spastique, le traitement dépend de la capacité du patient à retenir ses urines. Celui qui est en mesure de retenir des volumes normaux peut utiliser des techniques visant à déclencher la miction (p. ex., exercer une pression sus-pubienne, gratter la peau des cuisses); les anticholinergiques peuvent être efficaces.