Table des matières
Pourquoi la migration est une bonne chose?
Selon une étude du FMI menée par Florence Jaumotte, les migrations augmentent les niveaux de vie des populations locales. Une augmentation d’un point de la proportion des migrants dans une population tend à augmenter le PIB par personne de 2\% sur le long terme.
Quel est le problème de l’immigration?
Dans la plupart des États membres, la qualité des structures d’accueil des enfants, la nomination de tuteurs, l’accès à la procédure d’asile et les obstacles liés au regroupement familial restent des problèmes majeurs. Beaucoup d’entre eux n’ont suivi que peu ou pas de programmes d’enseignement.
Quels sont les risques de l’immigration clandestine?
Dans tous les entretiens [5], les migrants clandestins évoquent constamment l’impossibilité de trouver un emploi et l’absence de toute perspective d’insertion professionnelle comme étant les premiers facteurs qui les poussent à partir. Sans avenir, les jeunes ont le sentiment de mourir lentement dans leur pays.
Comment se fait la migration?
Pour d’autres, la migration se fait par envie de découvrir le monde. C’est le cas notamment des étudiants qui partent en échange scolaire dans un autre pays, et des touristes de courte ou plus longue durée.
Quels sont les rôles des pays d’origine des migrants?
Les gouvernements des pays d’origine des migrants sont également intéressés par ces transferts de fonds, qui jouent un rôle clé dans leur économie. Au Mali par exemple, d’après une étude de la Banque mondiale, l’argent envoyé par les Maliens de France a contribué à la construction de 60\% des infrastructures.
Pourquoi les migrants partent pour leur communauté?
Les migrants ne partent pas seulement pour eux mêmes, mais aussi pour leur famille ou leur communauté : ils envoient de l’argent à leur famille, permettant ainsi une amélioration des conditions de vie de leur communauté.
Est-ce que l’immigration est une solution aux pénuries de main-d’œuvre?
L’immigration est également souvent perçue comme une solution aux pénuries de main-d’œuvre qu’on croit voir venir en raison de la baisse de la population d’âge actif. La population québécoise de 15 à 64 ans a déjà perdu 12 000 personnes depuis deux ans et va continuer d’en perdre pour longtemps encore.