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Quels sont les conséquences des risques naturels?
Par ailleurs, les risques naturels montrent souvent des processus en chaîne : les séismes, les cyclones ou des averses torrentielles provoquent une déstabilisation des versants souvent à l’origine de risques associés (éboulements, glissements de terrain, par exemple).
Quelle est la différence entre phénomène naturel et risque naturel?
Le phénomène naturel devient un risque lorsqu’il entraîne des dommages pour la société, l’environnement ou qu’il provoque des pertes en vie humaine. Un risque naturel est donc la confrontation entre un aléa d’origine naturelle et des enjeux humains, économiques ou environnementaux.
Quelle est la notion de risque naturel?
Risques naturels. La notion de risque naturel recouvre l’ensemble des menaces que certains phénomènes et aléas naturels font peser sur des populations, des ouvrages et des équipements. Plus ou moins violents, ces évènements naturels sont toujours susceptibles d’être dangereux aux plans humain, économique ou environnemental.
Quels sont les risques naturels de notre planète?
Les risques naturels sont indissociables de l’histoire de notre planète. Tempêtes, cyclones, crues et inondations, canicules, éruptions volcaniques, séismes, tsunamis, mouvements de terrain, chutes de météorites, … sont autant de phénomènes naturels qui participent à l’évolution incessante de la Terre.
Que signifie la gestion des risques naturels?
La gestion des risques naturels doit s’entendre comme un fait de civilisation au travers duquel la conceptualisation de la nature, définie à une époque et à un lieu donnés par des critères idéologiques et socio-économiques propres à une société donnée, dicte les règles d’intervention de l’homme sur son environnement.
Quels sont les risques indirects de l’exploitation du gaz naturel?
Risques indirects. Chaque étape de l’exploitation du gaz naturel entraine des émissions de gaz naturel dans l’atmosphère. Or, l’un des principaux composants du gaz naturel est le méthane (CH 4), dont l’effet de serre est plus de 20 fois supérieur à celui du CO 2 (avec toutefois un temps de séjour moins long dans l’atmosphère).