Quand un avocat ment?
L’avocat peut alors être amené à ne pas dire la vérité sans le savoir, sans le vouloir. Dans ce cas, ce n’est donc pas un mensonge, le client n’ayant pas été complètement transparent avec son avocat. Mentir, c’est comme voler, c’est mal. Ce n’est pas moral et c’est donc contraire à la dignité de l’avocat.
Est-ce qu’un avocat peut refuser un dossier?
En principe, l’avocat commis d’office a pour obligation de s’occuper du dossier qui lui est attribué. Il peut toutefois refuser un dossier en justifiant l’impossibilité de l’assumer et en informant le bâtonnier de ses raisons. C’est ce dernier qui décidera ou non de le décharger de l’affaire.
Quelle est la relation entre un avocat et son client?
La relation entre un avocat et son client est basée sur la confiance et celle-ci peut être mise à mal par les fausses déclarations de celui-ci à son avocat et le client ne doit jamais perdre de vue qu’au final, la décision rendue le concerne lui-même et non l’avocat qui n’aura été que son porte-parole.
Est-ce que l’avocat a menti?
Mentir, c’est comme voler, c’est mal. Ce n’est pas moral et c’est donc contraire à la dignité de l’avocat. De plus, comment les juges pourraient-ils continuer à croire un avocat en sachant qu’il a menti?
Pourquoi ne pas dire toute la vérité à son avocat?
En effet, il arrive parfois que le client ne dise pas toute la vérité à son avocat. L’avocat peut alors être amené à ne pas dire la vérité sans le savoir, sans le vouloir. Dans ce cas, ce n’est donc pas un mensonge, le client n’ayant pas été complètement transparent avec son avocat. L’avocat n’est donc pas responsable dans ce cas particulier.
Quel est le rôle de l’avocat?
Les partisans de cette vision du rôle de l’avocat considèrent donc que l’avocat aurait non seulement la possibilité de mentir, mais qu’il en a même le devoir. La réalité est plus subtile que ces caricatures. Le mensonge qui consiste à énoncer ce que l’on sait être faux.