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Quelles sont les effets secondaires du métronidazole?
Informez votre médecin immédiatement et arrêtez de prendre le métronidazole si vous présentez les symptômes suivants: · maux de ventre, anorexie, nausées, vomissements, fièvre, malaise, fatigue, jaunisse, urines foncées, selles de couleur mastic ou démangeaisons.
Quel est le rôle de Metronida?
Le métronidazole est un antibiotique. Techniquement, le terme « antibiotiques » ne correspond qu’aux antimicrobiens produits… en apprendre davantage bactéricide. Il pénètre dans les parois cellulaires bactériennes, destructure l’ADN et inhibe la synthèse de l’ADN dans certains microrganismes.
Comment prendre métronidazole 250 mg?
Voie orale. Avaler les comprimés avec de l’eau. 2 à 3 fois par jour, selon les indications. Pour être efficace, cet antibiotique doit être utilisé régulièrement aux doses prescrites et aussi longtemps que votre médecin vous l’aura conseillé.
Quelle est la dose habituelle de métronidazole chez les adultes?
Pour les adultes, la dose habituelle de métronidazole est de 500 mg pris oralement toutes les 8 heures ou deux fois par jour. Pour le traitement de la trichomonase, une dose unique de 2,000 mg peut être prise oralement après un repas.
Quels sont les effets indésirables du métronidazole?
Les effets indésirables parfois observés avec le métronidazole sont : nausées, vomissements, malaise d’estomac, perte d’appétit, sécheresse de la bouche, goût métallique. Le métronidazole peut aussi causer : maux de tête, étourdissements, somnolence, confusion.
Pourquoi la prise de métronidazole est interdite pendant la grossesse?
La prise de métronidazole donne une couleur foncée à l’urine. Grossesse : des effets tératogènes et mutagènes ne peuvent être exclus avec certitude. En Belgique, la manipulation et la réalisation de préparations à base de métronidazole sont interdites pendant la grossesse.
Est-ce que le métronidazole est une source d’immunodéficience?
Il a été montré in vitro que le métronidazole réagissait à température ordinaire avec le glutathion. Sa structure est à comparer avec celle de l’ imurel (qui est aussi un nitroimidazole), et il est logique de penser qu’il peut être une source d’immunodéficience.