Pourquoi l’argent n’est pas la seule “devise” dans le couple?
Certains font même le choix de l’instruction en famille et poursuivent donc ce schéma au-delà de 6 ans. Ce que le conjoint qui ne travaille pas (au sens conventionnel du terme) apporte à la cellule familiale n’est pas vraiment quantifiable, ce qui montre que l’argent n’est pas la seule “devise” dans le couple.
Quel est le travail de la femme pour trouver un mari?
Dans la société moderne, le mariage est devenu un consensus entre les futurs époux, qui, souvent, se rencontrent et se mettent d’accord pour mener une vie basée sur l’entente, le respect mutuel et l’entraide financière. On peut même avancer que dans beaucoup de cas, le travail de la femme constitue pour elle un premier atout pour trouver un mari.
Quelle est la demande d’un prêt d’argent?
La demande d’un prêt d’argent fait partie des astuces utilisées pour soutirer l’argent à un homme. Elles ne le font pas pour rien, elles savent qu’il sera toujours difficile pour un homme de réclamer l’argent qu’il a prêté à sa femme ou encore à sa copine.
Est-ce que l’argent serait le sujet n°1 de dispute dans le couple?
L’argent serait l’un des sujets N°1 de dispute dans le couple. D’une manière ou d’une autre, le sujet revient régulièrement sur le tapis sous de multiples formes. Dépenses subies par l’une des 2 personnes, jalousie larvée, sentiment d’infériorité… L’argent peut rapidement transformer votre petite histoire sympathique en cauchemar.
Est-ce que l’époux est seul responsable des prêts avant le mariage?
Chaque époux est seul responsable des prêts qu’il a souscrits avant le mariage : en cas d’impayés, le prêteur ne peut pas saisir les biens du conjoint ni ceux du ménage. Quant aux dettes nées durant le mariage, elles sont communes : la banque peut poursuivre les époux sur la totalité de leurs biens, communs ou propres (même après leur divorce).
Quelle est la nature des biens acquis pendant le mariage?
Quelle que soit la nature des biens acquis pendant le mariage, ils sont censés être communs, donc appartenir aux deux époux, ceux-ci disposant du droit de les gérer comme ils l’entendent, sans demander l’accord du conjoint (sauf décisions particulièrement importantes à prendre).