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Quand on sait que les poissons sont capables de souffrir?
Quand on sait que les poissons sont capables de souffrir, qu’ils ont des capacités cognitives et des sentiments, et que l’on considère les dégâts environnementaux et les effets néfastes que la consommation de poisson peut avoir sur la santé humaine, il est difficile de continuer à les manger.
Est-ce que les poissons ressentent la douleur?
Selon une récente revue de la littérature scientifique, il est désormais avéré que les poissons ressentent la douleur, et qui plus est, de façon très similaire à la nôtre. Il est aussi certain qu’ils aient seulement perdu (ou qu’ils n’aient pas acquis) quelques nocicepteurs au cours de l’évolution comme ceux qui gèrent la sensation de froid.
Pourquoi il n’y a pas de distinction entre poissons et animaux à sang chaud?
Pourtant de nombreuses études démontrent qu’il n’y a pas lieu de faire de distinction entre les poissons et les animaux à sang chaud. La célèbre Dr. Sylvia Earle, une des biologistes marines les plus connues dans le monde, a comparé à titre d’exemple, un mérou à un cocker, déclarant qu’elle ne mangerait pas plus l’un que l’autre (1).
Est-ce que le poisson peut causer des risques pour la santé?
Par ailleurs, la consommation de poisson peut causer des risques pour la santé à cause des bactéries, polluants et métaux lourds qu’ils absorbent dans l’océan ou dans les élevages. Le thon, par exemple, peut contenir des taux élevés de mercure qui peuvent être nuisibles à la santé de ceux qui le consomment.
Comment se nourrir sans faire souffrir?
Surtout lorsqu’on sait qu’il est extrêmement simple de se nourrir sans faire souffrir, en passant à une alimentation végane qui n’exploite pas les animaux, et qui est plus écologique et plus saine. A lire aussi : Étiquetage alimentaire : le poisson à nouveau épinglé. Pour sauver les poissons, mangez de la méduse !
Combien de fois peut-on manger du poisson?
Pour qu’un enfant profite des bienfaits du poisson et d ’ une alimentation variée, il est recommandé de lui en servir deux fois par semaine, dont au moins une fois du poisson gras (ex . : saumon, tr uite, hareng, sardine).