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Quels risques Prend-on en allant sur des sites illégaux?
Certains VPN proposent de contourner HADOPI, mais cet usage reste parfaitement illégal. La sanction peut être lourde : réaliser une copie, de quelque façon que ce soit, d’une vidéo protégée par les droits d’auteur, est passible d’une amende maximale de 300 000 euros, et d’une peine de prison jusqu’à 3 ans.
Est-ce que le streaming gratuit est légal?
Les sites de streaming sont légaux s’ils ont payé ou s’ils détiennent les droits d’auteur des contenus diffusés. YouTube, Dailymotion, Vimeo, Deezer, Spotify, les sites internet de chaînes de télévision ou de radio, les sites de vidéo à la demande…
Est-ce que Coflix est légal?
coflix.tv n’héberge et n’est l’auteur d’aucune des vidéos présentées. Celles-ci étant reprises depuis les plateformes de partage Openload, VK, Upvid, Youtube… Les droits et le contenu des vidéos présents sur ce site sont la propriété exclusive de leurs auteurs respectif.
Est-ce que le streaming est illégal?
En soi, le streaming n’est pas illégal. Comme nous l’avons mentionné plus haut, les plus gros acteurs du web s’en servent. Il y a toutefois des plateformes qui mettent à disposition du public des programmes (films, séries, chansons …) sans autorisation et sans s’acquitter des droits d’auteurs.
Quels sont les sites de streaming illégaux?
Ce sont les sites de streaming illégal. Il y a une énorme subtilité entre site illégal et site diffusant du contenu illégal. Il existe deux catégories de sites de streaming : les sites comme Youtube ou Dailymotion totalement légaux diffusant des contenus légaux et illégaux.
Quelle est la subtilité entre sites illégaux et site illégal?
Il y a une énorme subtilité entre site illégal et site diffusant du contenu illégal. Il existe deux catégories de sites de streaming : les sites comme Youtube ou Dailymotion totalement légaux diffusant des contenus légaux et illégaux. Il revient alors à chaque plateforme de faire le ménage
Comment éviter les sites illégaux?
Il suffit d’un peu de bon sens. Les sites illégaux répondent à des codes établis. Leur adresse, leur charte graphique, leur ergonomie, la quantité de publicités en tous genres sont autant d’éléments révélateurs. En 2018, dire “je ne savais pas” est clairement une preuve de mauvaise foi.