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Où vivent les animaux polaires?
Les ours polaires ne vivent que près du pôle Nord, en Arctique. Les manchots empereurs ne vivent que près du pôle Sud, en Antarctique. Les mammifères terrestres de l Arctique présentent des caractéristiques communes liées à leur environnement : Ils sont presque tous blancs, comme le lièvre arctique ou l ours polaire.
Quel sont les animaux polaires?
Animaux polaires
- l’ours polaire,
- le renard polaire,
- le lièvre arctique,
- le pingouin,
- le phoque.
C’est quoi un animal polaire?
Les exemples les plus connus sont l’ours polaire, qui ne vit qu’en Arctique et ses régions limitrophes. Le manchot, lui, ne vit qu’en Antarctique. Malgré tout, les régions polaires restent des habitats très semblables, surtout lorsqu’il s’agit du climat.
Où vivent les otaries?
Le lion de mer, aussi appelé otarie de Californie, se répartit en pleine mer et sur les côtes rocheuses du versant Pacifique des Etats-Unis ainsi qu’aux îles Galapagos. Son alimentation est composée de poissons et de mollusques.
Est-ce que l’ours polaire est préoccupant?
Le Comité sur la Situation des Espèces en Péril au Canada a a inscrit l’ours polaire sur la liste des espèces « préoccupantes » au Canada ( voir Animaux en voie de disparition ). On a toujours cru que l’ écosystème marin de l’Arctique était relativement stable et prévisible à long terme.
Pourquoi l’ours polaire est important pour les Inuits?
L’ours polaire revêt une réelle importance culturelle et économique pour les Inuits. Certaines communautés unuites continuent à pratiquer une chasse de subsistance et le nombre d’ours qu’ils peuvent tuer est basé sur un système de quotas régi par le gouvernement.
Comment nourrir les ours polaires?
L’Ours polaire se nourrit surtout de phoques, qu’il chasse en restant à l’affût sur la glace près d’un trou d’air (Corel Professional Photos). Les ours polaires vivent sur les banquises et le long des côtes des mers arctiques (Corel Professional Photos).
Quels sont les effets sur les ours polaires?
Même si leurs effets sur les ours polaires ne sont que partiellement connus, leur concentration chez certaines populations d’ours polaires est déjà suffisamment élevée pour interférer avec le processus de régulation hormonale, le système immunitaire et possiblement le système reproductif.