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Comment vérifier un broker?
Il ne faut donc pas longtemps pour savoir si un broker est légal. Il suffit de regarder sur sa page d’accueil s’il affiche un label officiel d’autorisation ou de régulation. Néanmoins, il ne faut pas confondre autorisé et régulé. Le premier signifie simplement que l’entreprise derrière le site est légalement reconnue.
Qui regule les brokers?
Le principal organisme en charge de la régulation des brokers est l’Autorité des Marchés Financiers (AMF).
Comment fonctionne la régulation des brokers?
L’organisme de régulation fonctionne indépendamment du gouvernement du pays et est financé par les redevances qu’il reçoit des acteurs du marché qu’il supervise. La FCA examine actuellement la conduite d’environ 58 000 sociétés financières dans le pays.
Qu’est-ce qu’un broker régule?
Qu’est ce qu’un broker régulé? fournir des informations détaillées sur les conditions d’usage de la plateforme en mentionnant l’ensemble des frais pouvant y être appliqués. Si malgré l’application de toutes ces règles il y a un litige, la régulation permet également aux traders de demander réparation.
Comment vérifier que votre courtier en ligne exerce légalement son activité?
Ainsi si vous souhaitez vérifier que votre courtier en ligne exerce légalement son activité, (et vous prémunir des différentes arnaques existantes sur internet), il vous est vivement conseillé de vous rendre sur le site www.regafi.fr, et de vérifier l’appartenance de votre opérateur à l’autorité de contrôle avant toute opération avec ce dernier.
Comment tester la fiabilité de votre courtier?
L’AMF n’est pas le seul moyen qui vous permettra de tester la fiabilité de votre courtier. En effet, vous pouvez également vous tourner vers la vérification sur REGAFI. 60 – 65\% des comptes des investisseurs de détail perdent de l’argent lorsqu’ils tradent des CFD avec ces fournisseurs.
Est-ce que l’AMF publie régulièrement des investissements sur le Forex?
L’AMF publie régulièrement sur son site une liste noire des sites Internet et des entités proposant en France, sans en avoir le droit, des investissements sur le Forex, les options binaires, les biens divers et les produits dérivés sur crypto-actifs.