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Quelle est la quantité de lipides de la myrtille?
La quantité de lipides de la myrtille (0,33 g pour 100 g) est inférieure à la moyenne des lipides dans les fruits frais (0,56 g pour 100 g). La myrtille est source de manganèse car elle apporte l’équivalent de 17 \% des VNR en manganèse, soit 0,34 mg pour 100 g.
Comment consommer les myrtilles fraîches?
Néanmoins, notre conseil est le même pour tous les fruits : la meilleure option est de les consommer sous la forme la moins transformée possible. Privilégiez les myrtilles fraîches, à consommer telles quelles, dans un muesli, un porridge d’avoine, un yaourt ou encore un fromage blanc.
Quelle est la saison de la myrtille?
La myrtille est un fruit d’été par excellence : la pleine saison s’étale de juin à septembre. Le reste de l’année, elles ne sont pas disponibles sur les étals. Quelles sont les valeurs nutritionnelles de la myrtille?
Quelle est la quantité de vitamine K1 dans la myrtille?
La myrtille est source de vitamine K1 car elle apporte l’équivalent de 25,73 \% des VNR, soit 19,30 µg pour 100 g. D’après les données de la table Ciqual 2020, la myrtille est le fruit qui contient le plus de vitamine K1. La quantité des autres vitamines représente moins de 5 \% des VNR.
Quels sont les bienfaits de la myrtille sur la santé?
Les bienfaits démontrés de la myrtille sur la santé sont principalement en lien avec ses apports de polyphénols.
Quel est le profil nutritionnel de la myrtille?
Profil nutritionnel de la myrtille La myrtille cultivée a un apport en sucre et en fibres similaire à la moyenne des fruits. Bonne source de manganèse, de vitamines C et K, elle fournit en plus faibles proportions de nombreux autres micronutriments : vitamines E et du groupe B, potassium, magnésium, cuivre, fer, polyphénols …
Quels sont les effets des polyphénols des myrtilles?
De nombreuses études de laboratoire suggèrent que les polyphénols des myrtilles peuvent contribuer à la prévention des cancers. En particulier grâce à leurs effets anti-oxydant et anti-inflammatoire, ils protégeraient l’ADN, bloqueraient la prolifération des cellules cancéreuses et favoriseraient la « mort » naturelle de ces dernières (apoptose) 19.