Comment faire une demande de tutelle?
Comment faire une demande de mise sous tutelle? La demande de mise sous tutelle est adressée au juge des tutelles du tribunal d’instance dont dépend la commune dans laquelle la personne à protéger a établi sa résidence principale. La demande de mise sous tutelle nécessite de remplir un formulaire Cerfa, le n°14919*01.
Pourquoi demander une mise sous tutelle?
La tutelle s’adresse à une personne majeure ayant besoin d’être représentée de manière continue dans les actes de la vie civile : du fait de l’altération de ses facultés mentales. ou lorsqu’elle est physiquement incapable d’exprimer sa volonté.
Comment s’adresser à un juge des tutelles par courrier?
Je soussigné(e) [Madame/Monsieur] [Nom et prénom], né(e) le [date] à [lieu] et domicilié(e) à [adresse précise], par la présente, procède à votre saisine afin qu’il soit procédé à [l’ouverture/la clôture/l’aménagement] d’une mesure de protection juridique.
Est-ce que la personne protégée peut demander la mise sous tutelle?
La personne protégée est en droit de former un appel contre la décision du juge des tutelles. En cas de refus de la mise en place d’une tutelle par le juge, toute personne habilitée à demander la mise sous tutelle (parent, allié etc.) peut faire appel de la décision du juge.
Comment rédiger une demande de mise sous tutelle?
La lettre pour une demande de mise sous tutelle doit être rédigée avec soin et bien mentionner les motifs de la demande. La demande de mise sous tutelle requiert, en plus d’une lettre en bonne et due forme, plusieurs documents importants :
Quelle est la durée de la mise sous tutelle?
Le juge choisit un professionnel (un mandataire judiciaire à la protection des majeurs) si vraiment il n’y a pas d’autre possibilité. La mise sous tutelle est fixée à 5 ans, ou à 10 ans si l’altération des facultés de la personne sous tutelle n’est pas susceptible de s’améliorer.
Pourquoi la tutelle s’adresse à une personne majeure?
La tutelle s’adresse à une personne majeure ayant besoin d’être représentée de manière continue dans les actes de la vie civile : du fait de l’altération de ses facultés mentales ; ou lorsqu’elle est physiquement incapable d’exprimer sa volonté.