Quelle est la volonté des personnes difficiles au travail?
Les personnes difficiles au travail n’ont pas forcément la volonté de perturber le bon déroulement des tâches, mais dans tous les cas, leurs attitudes doivent cesser pour améliorer les relations humaines et retrouver de la sérénité et un cadre de travail bienveillant.
Comment gérer les personnalités difficiles?
Savoir comment gérer les personnalités difficiles, c’est identifier les collaborateurs qui ont une certaine rigidité du comportement pour essayer de comprendre quelle en est la cause tout en la rassurant par le coaching.
Comment se mettre à la place des personnes difficiles à gérer?
Il est important d’essayer de se mettre à la place des personnes difficiles à gérer, de ne pas les juger et d’essayer de les écouter au mieux. À un certain moment de notre vie, nous avons tous dû faire face à certaines personnes difficiles à gérer qui nous ont laissés stupéfaits, frustrés et en colère.
Est-ce que les personnes ayant des personnalités difficiles sont rigides?
Gardez à l’esprit que les personnes ayant des types de personnalité difficiles ne sont pas nécessairement «mauvaises», elles sont simplement rigides dans leur interaction, ce qui rend difficile de rester auprès d’elles.
En tant que manager, vous devez minimiser l’impact sur le reste de l’équipe, vous assurer que les objectifs soient atteints et ne pas rentrer dans une relation malsaine pour vous protéger. Autant dire que la gestion des personnalités difficiles peut s’avérer très complexe et demandante.
Comment gérer un collaborateur difficile?
La première étape de gestion d’un collaborateur difficile consiste à vérifier si le problème réel ne vient pas de notre propre ressenti vis-à-vis de tel ou tel comportement. En effet, nous jugeons parfois un collaborateur comme étant difficile car ses réactions, ses propos, touchent une corde sensible en nous.
Est-ce que nous viennent hanter au travail?
Pas étonnant qu’ils viennent nous hanter au travail. Mais, même si la situation est délicate, un gestionnaire ne doit pas fermer les yeux, prévient François Leduc, psychologue du travail et des organisations et coach professionnel chez Leduc Godin et associés.