Comment les banques ont évolué depuis sa privatisation?
Les banques ont évolué depuis sa privatisation en 2000. Tout le système a été chamboulé par la technologie et ses œuvres. Devenues des banques en ligne, les portes sont ouvertes au grand public et les offres exposés sont très attrayants.
Quels sont les atouts pour les banques classiques?
Mais même après les reformes et les offres de gratuités, il y a un secteur que les nouvelles banques ne maîtrisent pas, et ce sont des atouts pour les banques classiques. Même avec la dominance des banques en ligne, il y a encore un bon pourcentage des gens qui passent à la banque classique.
Quels sont les inconvénients des anciennes banques?
Les inconvénients des anciennes banques. Le premier point qui ne motive pas les gens à ouvrir un compte dans une banque traditionnelle est les frais. Ils sont si élevés et presque du vol si on compare avec les offres des banques en ligne. C’est vrai qu’il y a la mobilité des agents sur le terrain, mais les frais sont si énormes.
Pourquoi les anciennes banques travaillent avec l’Etat?
En fait, les anciennes banques travaillent avec l’Etat et la région où elles se siègent, en plus, celles-ci connaissent les besoins de ses gens avec la capacité économique qui les spécialise.
Quels sont les avantages d’une privatisation?
En effet, parmi ces avantages on peut citer le fait que si l’Etat privatise une activité pour l’ouvrir à la concurrence alors on peut espérer que les prix seront tirés à la baisse mais cela n’est pas toujours vrai. Une privatisation rapporte généralement une grosse somme d’argent à l’Etat.
Est-ce que les banques sont gratuites?
C’est exactement l’inverse des banques en ligne, qui sont des banques gratuites. Si les agences sont un des avantages des banques traditionnelles, force est de constater que de plus en plus d’entre elles ferment. La possibilité de réaliser toutes les transactions en ligne incite en effet les clients à se débrouiller.
Quel est l’intérêt financier d’une privatisation pour l’Etat?
L’intérêt financier d’une privatisation pour l’Etat dépend uniquement des recettes qui en sont tirées au regard des dividendes qui sont abandonnés. Il est totalement indépendant de « l’affectation » éventuelle de ces recettes, par exemple à un fonds en faveur de l’innovation.